Publié le 16 Janvier 2015
Question unité nationale, je suis ... Ray Charles !
Donnez moi la vie que j'aime le long de ma route un ruisseau donnez moi le ciel joyeux et le chemin de traverse ...
Publié le 16 Janvier 2015
Question unité nationale, je suis ... Ray Charles !
Publié le 11 Janvier 2015
Dormez tranquilles, la police veille ...
Tonight's the night that we got the truck
Cette nuit est la nuit où nous avons le camion
We're goin' downtown, gonna beat up drunks
Nous allons en ville, tabasser des gens bourrés
Your turn to drive, I'll bring the beer
C'est à ton tour de conduire, j'apporterai la bière
It's the late late shift no one to fear
C'est le dernier shift(1) il n'y a personne a craindre
And ride, ride how we ride
Et faisons une virée, une virée, comment nous faisons une virée
We ride, lowride
Nous faisons une virée, une descente
It's round-up time where the good whores meet
C'est l'heure du rond point où les bonnes putes se réunissent
Gonna drag one screaming off the street
Allons traîner, il y a un hurlement dans la rue
And ride, ride, how we ride
Et faisons une virée, une virée, comment nous faisons une virée
Got a black uniform and a silver badge
J'ai un uniforme noir et un badge en argent
Playin' cops for real, playin' cops for pay
Jouons aux flics pour de vrai, jouons aux flics pour le salaire
Let's ride, lowride
Faisons une virée, une descente
Pull down your dress here's a kick in the ass
Baisse ta robe, voici un coup dans le cul
Let's beat you blue til you shit in your pants
Battons, toi, la cochonne, pendant que tu chies dans ton pantalon
Don't move, child, got a big black stick
Ne bouge pas, l'enfant, a un gros bâton noir
Theres six of us, babe, so suck on my dick
Il y en a 6 d'entre nous, bébé, alors suce ma bite
And ride, ride, how we ride
Et faisons une virée, une virée, comment nous faisons une virée
Let's ride, ride, how we ride
Faisons une virée, une virée, comment nous faisons une virée
Let's ride, lowride
Faisons une virée, une descente
The Left newspapers might whine a bit
Les journaux de gauche vont sûrement se plaindre un peu
But the guys at the station, they don't give a shit
Mais les mecs de la station, n'y prête pas attention
Dispatch calls, Are you doin' something wicked ?
La dépêche appelle, "Faites-vous quelque chose de malfaisant" ?
No, siree, jack, we're just given' tickets
"No, sir, Jack, nous avons seulement donné des tickets"
As we ride, ride, how we ride
Comme nous faisons une virée, une virée, comment nous faisons une virée
Let's ride, lowride
Faisons une virée, une descente
Well I'm running police on my back
Bien, je suis en train de courir, la police sur le dos
I've been hiding police on my back
J'ai été caché, la police sur le dos
There was a shooting police on my back
Il y a une fusillade, la police sur le dos
And the victim well he won't come back
Et la victime, bien, il ne reviendra pas
What have I done ?
Qu'ai-je fait ?
I been running monday tuesday wednesday
J'ai couru lundi mardi mercredi
Thursday friday saturday sunday runnin
Jeudi vendredi samedi dimanche à courir
Monday tuesday wednesday thursday friday
Lundi mardi mercredi jeudi vendredi
Saturday sunday
Samedi dimanche
Yes, I'm running down the railway track
Oui, j'ai couru le long du chemin de fer
Could you help me ? Police on my back
Pourrait-tu m'aider ? la police sur le dos
They will catch me if I dare drop back
Ils m'attraperont si j'ose ralentir
Wont you give me all the speed I lack
Ne m'aideras-tu pas à avoir la vitesse dont j'ai besoin
(Eddy Grant)
A la mi-octobre, soixante et un
Les policiers Français ont été s'amuser
Couper les Algériens
Casser les têtes partout dans la ville
Pourtant personne n'a vu et personne ne savait
Personne n'a osé dire la vérité
200 morts est devenu juste deux
Les balayer dans la rivière
Les témoins ont été exécutés au sol
Mettre les salauds souterrain
Enterré tout noir en ville
Qui ont osé montrer leur visage
(Refrain) :
Quand les étoiles tombent du ciel
Quand le monde ne peut pas me faire pleurer
C'est alors la balance va tomber de vos yeux
Et vous permettent de voir la vérité
Boipitong en quatre-vingt-douze
Soumis à un équipage de meurtre
Policiers bien formés par le biais de
Une foule qui est armée avec des slogans
Pourtant personne n'a vu et aucune aide n'est venue
Et personne ne veut prendre le blâme
Ces gens que vous essayez de l'apprivoiser
Obtiendrez rond à vous plus tard
Les manifestants ont été exécutés au sol
Mettre les salauds souterrain
Enterré tout noir en ville
Qui ont osé élever la voix
Tous les jours dans le monde entier
La voix de la vérité n'est pas audible
Hommes et femmes disparaissent
Ils doivent vivre leur vie dans la peur
Encore quelque chose qui les rend, stand et cri
Un jour qu'ils vous découvriront
Déterrer tous les faits dans la ville
Et les pousser dans votre visage
Publié le 4 Janvier 2015
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Afrique esclavagisée, colonisée, martyrisée, dévalisée !
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Les montagnes de fric
Volées par la françafrique,
Les tyrans complices
Les gardent dans leurs comptes en Suisse,
Les pots de vins de Sirven
Les crédits de Débi
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Afrique mal dirigée, tyrannisée, manipulée, dévaluée !
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
Ainsi donc l'Afrique doit du fric
La solde des mercenaires
Et les armes des tortionnaires,
Des milliards de francs
Volés à des pays souffrants,
Les coups de fouets d'Houphouët
Les sales sous de Sassou
Maman, Je pense à toi , je t'écris
D'un trois étoile à Cachan
Tu vois, faut pas que tu trembles ici
J'ai un toit et un peu d'argent
On vit là tous ensemble, on survit
On ne manque presque de rien
C'est pas l'enfer , ni le paradis
D'être un Africain à Paris
Oh Oh , un peu en exil
Etranger dans votre ville
Je suis africain à Paris
Oh Oh , un peu en exil
Etranger dans votre ville
Je suis africain à Paris
Sais-tu qu'ils nous ont promis des places ?
Mais, c'est par la voie des airs
Elles ne sont pas en première classe
C'est un oiseau nommé charteur
En attendant que l'oiseau s'envole
Des mains noires aux doigts de fée
Font tourner autour des casseroles
Un soleil au goût de mafé
Oh Oh , un peu en exil
Etranger dans votre ville
Je suis africain à Paris
Oh Oh , un peu en exil
Etranger dans votre ville
Je suis africain à Paris
Et du dimanche au dimanche aussi
Je ne fais que travailler
Tu vois, j'en ai de la chance ici
J'aurai bientôt mes papiers
Maman, je sais que tu as l'habitude
De trop vite t'affoler
Surtout n'aie pas d'inquiétude
Si un hôtel a brûlé
Oh Oh , un peu en exil
Etranger dans votre ville
Je suis africain à Paris
Oh Oh , un peu en exil
Etranger dans votre ville
Je suis africain à Paris
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme les Etats unis, ça va faire mal !
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme le royaume-unis, ça va faire mal !
on pourra controler,on sera respectés
nous pourrons dialoguer, on pourra s'imposer
ça va les étonner de nous voir évoluer!
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme les Etats-unis, ça va faire mal !
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme le royaume-unis, ça va faire mal !
on pourra s'opposer a ceux qui veulent s'imposer,
on pourra resister aux pays développés,
on pourra bien lutter contre la pauvreté !
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme les Etats-unis, ça va faire mal !
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme le royaume-unis, ça va faire mal !
Faisons donc attention à toutes ces oppressions,
evitons l'ascension de toutes les exactions,
faut qu'nous nous rassemblions car c'est l'unique solution!
Attention attention a toutes ces divisions,
et surtout evitons d'etre leurs moutons !
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme les Etats-unis, ça va faire mal !
Quand nous serons unis, ça va faire mal
comme le royaume-unis, ça va faire mal !
Publié le 1 Janvier 2015
Publié le 31 Décembre 2014
Chanson pour Howard Zinn
Dans le cœur des hommes j’ai vu,
Une harpe celtique se cambrer sur la lande
Des griffes rouges et noires se tapir dans l’ombre
Des pantalons cocarde démolissant les murs
Une chèvre des montagnes secourir des moutons
Un large sombrero chevauchant les sierras
Des épis de maïs qui voulaient partager
Une steppe toute entière qui s’est mise à gronder
Et un brin de jasmin défié le Sirocco
Un peuple de criquets qui marché longtemps
Et ce chien catalan qu’on avait amputé
Ces plumes qui chantaient dans les grandes prairies
Et leur écho de pagnes qui gagnait les rivages
Des ébènes superbes aux mâchoires enchainées
Une belle rose noire s’asseyant dans un bus
Deux énormes cigares faire trembler un chapeau
Et des fourches de bois à l’assaut des donjons
Des figues qui volaient, bien plus dure que l’acier
Et de tendres cerises humilier les fusils
Des vagues qui roulaient perdues dans l’océan
Un peuple de marée à jamais déferlant
Hobo-Lullaby
"Alors j’ai voulu regarder l’histoire économique d’un point de vue différent, celui des ouvriers et dire l’histoire de leurs luttes et de la résistance qu’ils firent dans les grèves, boycotts et de la façon dont les gens faisaient face au sheriffs, à la garde nationale, parce qu’autrement, si vous ne savez rien de tout cela, vous continuez à penser que la journée de travail de huit heures est venue simplement parce que le congrès passa une loi en 1938, c’est l’histoire standard. On fait penser aux gens que Oh, ceci s’est produit parce que le congrès a soudain eu l’illumination et qu’il a pensé: “nous devons aider ces pauvres gens”, Non. Les réformes ne viennent qu’après des décennies d’âpres luttes sociales. Les huit heures par jour sont le résultat de luttes et de grèves qui ont commencées dès 1886. Alors oui, les intérêts de classes ont dominé l’histoire que je voulais raconter".
Howard Zinn
Source ; http://resistance71.wordpress.com/2013/11/29/lhistoire-contre-lhistoire-verite-contre-propagande-howard-zinn/
Publié le 28 Décembre 2014
Eh Tonton, est-ce que t’as regardé dehors ?
Publié le 26 Décembre 2014
Publié le 21 Décembre 2014
La maison ne reculant devant aucun sacrifice,
Deux morceaux de douceur pour un même dimanche ...
Eleggua est l’orisha (divinité Yoruba, peuple d’Afrique de l’ouest) des carrefours, maître des routes et des portes en ce monde, dieu de la chance mais aussi des accidents.
Orisha majeur, il a les clefs du destin et ouvre les portes du bonheur ou du malheur. Il personnifie le hasard et la mort. On l’identifie avec un enfant car il est espiègle, moqueur et capricieux mais il travaille beaucoup pour aider ceux qui l’ont reçu et croient en lui.
Il a vingt-et-un coquillages (cauris) avec lesquels il parle et il a aussi vingt-et-un chemins différents. Ses couleurs sont le rouge et le noir et son chiffre est le 3. On s’occupe de lui, de préférence les lundi et les trois de chaque mois.
Source : http://www.santeria.fr/2012/05/31/le-pantheon-des-orishas-elegguaeshu/#sthash.t1ZSs0Hu.dpuf
Ces chants originaires d’Afrique ont traversé l’esclavage pour renaitre en Amérique
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Réponse à la question "Le rap peut-il se sublimer ?" ...
L'amour, l'amour,
Nous serions le groupe jouant l'amour,
Des papillons s'envolent de moi,
J'attends patiemment, a travers portes et fenêtres
Jouer me fait croire
Alors que mes larmes coulent sur ma poitrine
Je ne pourrais pas respirer si je ne t'entendais pas
Il ni y a jamais eu un halo aussi bleu que ça
Une attitude que je ne peux qu'aimer
Rien ne peut mesurer l'amour que j'ai pour toi
Il ni a pas d'espace ou de temps compatible
Qu'est-ce que je dois faire ?
Mes amis disent que je tiens trop à toi
C'est vrai, mais il ni a rien d'autre dans ce monde que je préfèrerais faire
Il n'y a que toi
Je veux faire l'amour à ton existence
M'imprégner des couleurs de ton énergie pour les masturber dans mon esprit
Je veux me perdre en toi
Jusqu'à ce que tu me trouve, que tu me saisisses, pour la liberté de ta prison
Etre présent au même endroit, au même moment, combiné
Jusqu'à ce que tes pensées se mélangent doucement aux miennes, combinés
Jusqu'à ce que tes pensées se mélangent doucement aux miennes, combinés
Jusqu'à ce que tes pensées se mélangent doucement aux miennes, miennes
Je veux boire la sueur de ton esprit
Et voir la lumière de ta passion descendre le long de mon cou
Caresser ta présence sans aucune question
Déshabillés, nus jusqu'à l'amour, l'AMOUR PURE...
Je veux faire l'amour à mon âme sœur
Mon âme sœur
Faire l'amour à mon âme sœur
Mon âme sœur
Faire l'amour à mon âme sœur
Je me demande ce que ça fait de faire l'amour à son âme sœur
C'est comme écrire une poésie jusqu'à l'extase
Jusqu'à ce que le lieu et le temps se mélange
Et nous prenons un chemin divin, dis moi est-ce-que tu aimerais ça ?
Est-ce que tu aimerais ça ?
Dis moi est-ce-que tu aimerais ça ?
Est-ce que tu aimerais ça ?
Publié le 14 Décembre 2014
De Trenchtown à Belfast, la violence est la même
Johnny was, chanson écrite par Bob marley en 1976, dénonce les violences du systeme.
La reprise qu'en a fait Stiff Little Fingers en 1979, est un cocktail molotov, un appel à la rebellion, en particulier contre l'occupant anglais et le groupe paramilitaire loyaliste red hands commandos.
La femme tient sa tête et pleure
Parce que son fils a été abattu dans la rue
Et est mort d'une balle perdue
La femme tient sa tête et pleure
En lui expliquant que j'étais un passant
Qui l'avais vu pleurer
En espérant qu'elle va pouvoir s'en sortir
Maintenant elle sait que les gages du péché sont morts
Le cadeau de Jah c'est la vie
Elle pleurait
Johnny était un homme bien
N'a jamais rien fait de mal
Johnny était un homme bien
Elle pleurait, elle pleurait
La femme tient sa tête et pleure
Parce que son fils a été abattu dans la rue
Juste à cause du système politique
La femme tient sa tête et pleure
En la consolant j'étais en train de passer
Elle se plaignait et pleurait
Johnny était un homme bien
N'a jamais rien fait de mal
Johnny était un homme bien
Qui prenait soin des femmes
Elle pleurait
Cesser à l'égard de l'enfant à qui elle a donné naissance
Johnny était un homme bien
Publié le 12 Décembre 2014
Smokey Babe (1927 - 1975), véritable vagabond du Blues, élevé dans une plantation du Mississippi, travailla comme métayer, mécanicien et chanteur de Blues ...