Publié le 19 Janvier 2024
comme quoi le capitalisme n'est définitivement pas la bonne voie ...
Donnez moi la vie que j'aime le long de ma route un ruisseau donnez moi le ciel joyeux et le chemin de traverse ...
Publié le 19 Janvier 2024
comme quoi le capitalisme n'est définitivement pas la bonne voie ...
Publié le 22 Avril 2023
il parait que vous ne lâchez rien !
Nous non plus !
Publié le 14 Janvier 2023
Dans une maison de retraite, une petit vieux demande à un autre :
"t'es nouveau ici ?"
non, je bosse ici ...
Publié le 30 Décembre 2022
ça vous dit un petit florilège musical pour bien finir l'année ?
pour vous rappeler qu'il faudra cotiser 49.3 annuités ?
allez, c'est parti
on commence par la version originale, l'auteur de ce texte intemporel, un génie en somme
et enfin toutes ces reprises unanimes ...
avec la traduction
Publié le 4 Janvier 2020
à regarder avant le 9 janvier
Publié le 1 Janvier 2020
Rappelez-vous que le pouvoir des gens d'en-haut dépend de l'obéissance des gens d'en bas. Quand ceux-là cessent d'obéir, les autres n'ont plus de pouvoir.
Howard Zinn
[LE PRECHEUR ET L'ESCLAVE]
Chaq' soir sortent des prêtres aux cheveux longs
qui t'expliquent c'qui est mal, c'qui est bon,
mais si tu d'mandes quekchose à manger,
ils te répondront d'une voix sucrée:
Tu mang'ras, plaise à Dieu,
dans ce glorieux pays au d'là des cieux
(monte-là d'ssus)
Travaille et prie, et bouffe du foin,
t'auras d'la tarte au ciel quand tu s'ras défunt
(c'est du flan!)
A l'Armée du Salut ils font du bruit,
ils chantent et applaudissent et ils prient
pour avoir ta monnaie dans la timballe
et constater que tu crèves la dalle
Tu mang'ras, plaise à Dieu,
dans ce glorieux pays au d'là des cieux
(monte-là d'ssus)
Travaille et prie, et bouffe du foin,
t'auras d'la tarte au ciel quand tu s'ras défunt
(c'est du flan!)
Quand tu t'bats pour tout' les bonnes choses de la vie,
ils te conseillent d'arrêter tous les conflits,
d'te mettre à genoux devant les patrons
à moins d'aller direct en enfer sinon.
Tu mang'ras, plaise à Dieu,
dans ce glorieux pays au d'là des cieux
(monte-là d'ssus)
Travaille et prie, et bouffe du foin,
t'auras d'la tarte au ciel quand tu s'ras défunt
(c'est du flan!)
Compagnes et compagnons de tous pays, unis,
côte à côte luttons pour la liberté,
la terre entière et ses richesses dans nos mains
nous chant'rons à tous les escrocs ce refrain:
Tu mang'ras, nom de Dieu,
quans tu sauras cuisiner et faire un feu,
coupe du bois, couds un peu,
et tu mang'ras ici-bas, nom de dieu,
(j'veux mon n'veu!)
Joe Hill
Publié le 31 Décembre 2019
J'espère que Léo ne m'en voudra pas pour ce détournement ...
Publié le 27 Mai 2015
Publié le 23 Mai 2015
Dans un pays qui célèbre la naissance des garçons, ce village indien fait office d’exception. A Piplantri en Inde, lorsqu’une une petite fille naît, une centaine d’arbres sont plantés. Une belle tradition qui célèbre les femmes et participe à la protection de l’environnement.
C’est un oasis de paix dans un pays où les femmes n’ont jamais été autant en danger. Alors que l’Inde est empêtrée dans une véritable épidémie de viols (dernier scandale en date : l’agression sexuelle d’une religieuse de 75 ans) et alors que les mentalités semblent plus que jamais à la traîne, un petit village sort du lot. A Piplantri dans l’Etat du Rajasthan, les femmes sont célébrées et choyées dès le berceau. Mieux, 111 arbres sont plantés aux alentours du village à chaque naissance d’une petite fille. C’est en 2006 que Shyam Sundar Paliwal, alors chef du village, lance cette initiative. Très marqué par le décès de sa fille quelques années plus tôt, l’homme cherche un moyen d’honorer sa mémoire.
Cet homme a donc décidé de planter des arbres à chaque naissance et va même plus loin. En effet, dès qu’une petite fille naît, les habitants du village et ses parents se cotisent pour lui ouvrir un compte en banque auquel elle aura accès à ses 20 ans.
Les habitants de ce village indien donnent 21 000 roupies (soit 314 euros) et les parents 10 000 roupies (soit 150 euros). Les géniteurs signent aussi une déclaration sous serment et s’engagent à fournir une éducation à leur fille et à ne pas la marier avant l’âge légal.
En six ans, les 8 000 habitants de Piplantri ont planté un quart de million d’arbres. Cette nouvelle tradition a même permis de relancer l’économie. En effet, les villageois prennent soin de leur forêt et ont semé des plantes à l’aloe vera un peu partout pour protéger les arbres des termites. Résultat ? Grâce aux récoltes, ils ont pu créer leur propre ligne de produits médicinaux. Aujourd’hui, beaucoup de personnes vivent de ce commerce. Qui plus est, on considère Piplantri comme un village vert et il a reçu le prix India’s Nirmal Gram pour sa contribution à la protection de l’environnement.
Les problèmes de communauté ont totalement disparu. Les habitants de ce village indien affirment également qu’aucune affaire judiciaire n’a été déplorée depuis au moins sept ans.
Voyant le lien intime entre la santé sociale et la santé de l’environnement du village, la tradition de Paliwal a créé un véritable avenir durable pour les membres de la communauté.
Quand on voit le lien entre les questions sociales et qu’on regarde leurs racines environnementaux, nous pouvons trouver des solutions uniques et incroyables à des problèmes modernes du monde. On ne penserait pas que quelque chose d’aussi insignifiant qu’un arbrisseau puisse changer le monde, mais rappelez-vous, ce jeune arbre deviendra un jour un arbre immense.
Source: thespiritscience via : conscience et eveil-spirituel
Publié le 17 Mars 2015
Cet article est reposté depuis L'Orchestre Poétique d'Avant-guerre - O.P.A.
Le 16 mars 2015 Yep ! Voilà comme chaque année le retour pour mémoire de cette date où la gueule de m. a fini en compote, frappée par des policiers au zèle toujours remarquable. Six ans. Et comme rien de tout cela n’a cessé, ni avant, ni après, ni ici, ni ailleurs, comme elle ne fut qu’un point parmi tant d’autres, il convient de nous rafraîchir et de continuer à dénoncer ces viol
http://opa-infos.over-blog.com/2015/03/veterante-clip-o-p-a.html