Publié le 31 Mars 2012

 
 
 
 
 
Circuits courts
 
En Grèce, le mouvement des pommes de terre fait baisser les prix
 
Par Nolwenn Weiler (30 mars 2012)
 
 
 
 
25 centimes d’euros le kilo en vente directe, contre 70 centimes au supermarché : ce sont les nouveaux tarifs des pommes de terre en Grèce, où les habitants, étranglés par les mesures drastiques imposées par les financiers, apprennent la débrouille et la solidarité. Les agriculteurs sont ainsi de plus en plus nombreux s’engager dans ces circuits courts. Précisons qu’ils y gagnent aussi. Puisqu’aux dires des initiateurs de ce « mouvement des pommes de terre », ils les vendaient auparavant aux intermédiaires seulement 10 à 15 centimes d’euros le kilo !
 
Les populations s’organisent désormais pour procéder à des achats groupés de fruits, légumes, huile d’olive, riz et farine. Et court-circuitent ainsi les intermédiaires, habitués à empocher de fortes marges. Selon certaines associations de défense des consommateurs, les prix à Athènes en 2009 étaient jusqu’à 30% plus chers qu’à Berlin, dans une même enseigne de supermarché ! Depuis que les ventes directes se multiplient, les prix des pommes de terre en grande surface ont baissé de moitié... Comme quoi, quand cela s’impose, les profiteurs sont prêts à rogner leurs marge.
 
 
 
Faut il vraiment attendre une crise économique et une baisse des salaires comme en Grèce pour réagir ?
N'aurions nous pas pu y penser plus tôt ? 
 
 
 
Bin oui, c'est pas nouveau !

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Publié le 30 Mars 2012

Kings River Canyon
 
Ma douleur est aussi large
Qu’un fleuve sans rives;
Elle est aussi profonde
Qu’un abîme sans fin.
La lune sombre, trouant la brume,
Comme si un voile léger, chaud, moite
Remplissait Kings River Canyon.
Saturne luisant perce tel un oeil d’or
Humide le rideau de lumière; à côté,
Antarès rougeoie faiblement
Sans scintiller; tout en haut,
Le rocher brille légèrement sous la lune:
Lookout Point où, étendus
Sous la pleine lune déjà, nous avions
Plongé nos regards dans ce canyon.
Par un doux octobre, nous avions établi
Le camp près des étangs d’automne immobiles.
Je t’avais préparé un gâteau d’anniversaire.
Là, tu peignis tes plus beaux tableaux —
Des paysages innocents, étonnés,
Dont il reste très peu d’exemplaires.
Tu les détruisis durant
Les crises atroces
De ta longue maladie. Dix-huit ans
Ont coulé depuis cet automne.
Aucun chemin d’accès n’existait alors.
Quelques personnes seulement
Connaissaient l’entrée du défilé.
Nous étions parfaitement seuls, à trente
Kilomètres à la ronde;
Jeunes mari et femme
Abrités et enveloppés
Dans la sérénité de l’automne,
Dans le bruit du fleuve furtif,
Dans le tournoiement des feuilles,
Dans le mouvement heurté d’un vol
De chauve-souris surgies des grottes,
Au ras des étangs parfumés
Où les grandes truites somnolaient chaque soir.
 
Dix-huit années broyées
Sous les roues de la vie.
Tu es morte. On a fait percer
Par mille bagnards l’autoroute
Qui coupe Horseshoe Bend. La jeunesse
Qui ne revient pas s’est enfuie. Mes tempes
Grisonnent et ma silhouette
S’est empâtée. Je chemine aussi vers la mort.
Je pense à Henry King, à Exequy,
Son poème ampoulé mais lourd de désespoir;
Je pense à la grande lamentation
De Yüan Chen, d’une insoutenable compassion;
Et, solitaire au bord du fleuve printanier,
Plus seul que jamais je n’aurais
Imaginé être un jour,
Je songe à Frieda Lawrence,
Assise seule au Nouveau-Mexique,
Dans la sécheresse sans fin, écoutant
Le sifflement des eaux laiteuses de l’Isar
Sur les cailloux, au coeur d’un printemps perdu.
 
  Kenneth Rexroth   [1947]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Rédigé par hobo-lullaby

Publié dans #poèsie

Publié le 28 Mars 2012

 
 
 
L’âme errante
...
Gloire à celui qui sous le feu de l’existence
Donna sens à la vie et à ses plaisirs sains
Loin de la brume froide, témoin de ses carences
De ses pseudo-pouvoirs, un seul n’en fût le sien
 
Par delà les frontières et leurs sols en souffrance
Où d’autr’âmes s’entachent d’innombrables venins
De cette fourmilière règne son espérance
Si l’ombre d’un soleil le pique un beau matin
 
De ces matins fertiles, la vie donna la chance
À ce cher inconnu, ignorant son destin
Gloire à la poésie et gloire à l’innocence
De ce cri, l’âme errante en trouva le chemin…
 
Isaac Lerutan, 2010
Source :  http://lerutan.wordpress.com/  
 
 
 
 
 

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Rédigé par hobo-lullaby

Publié dans #poèsie

Publié le 27 Mars 2012

 
 
 
Rhino jazz festival de Saint Chamond 2011
Soirée Blues
Un père et sa fille nous emmènent en voyage dans cette musique ...
 
 

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Rédigé par hobo-lullaby

Publié dans #musique

Publié le 25 Mars 2012

 

Il m'a semblé interresssant de mettre en parallèle des extraits de 1984 de Georges Orwell, et un passage de la socièté des vagabonds de Harry Martinson, tant on y trouve, dans des styles et des approches différentes, une analyse identique de notre socièté. Il est aussi troublant de constater que les auteurs ont eu un parcours similaire faits de boulots de trimardeurs, de vagabondages et de prise de conscience politique. De plus, ces deux oeuvres ont été écrites à la même époque ( 1948 et 1949 )

 

 

 

Dans cet extrait de la Socièté des vagabonds, Martinson s'interroge au travers de son héros Sandemar sur la vraisemblance de notre socièté. Cette socièté que les "cruels officiels" deshumanisent par le langage, d'une part, et par une négation, un éloignement de la réalité et de l'objectivité à l'état naturel, d'autre part. Le mythe de Cassandre ( Elle reçut d'Apollon le don de prédire l'avenir, mais elle se refusa à lui, et le dieu décréta que personne ne croirait à ses prédictions) prend alors tout son sens.  Quiconque tentant de sortir de ce piège, n'est plus crédible.

 

"Un des nombreux et étranges raisonnements de Sandemar portait sur le vraisemblable. La vraisemblance est toujours quelque chose de systématique, disait-il. C’est toujours un art ou un système. C’est une formule, mais ce n’est pas la vérité. La vérité sur tout ce qui existe embrasse toujours la totalité. C’est la nature entière. Et seule la nature entière est vraie. Le reste, ce ne sont que des consolations que l’homme se confectionne. Et quand il ne convertit pas les autres à son choix, il les persécute, devient chasseur d’hommes, chevalier d’intolérance, fanatique.

 

Et Sandemar parlait d’une espèce d’hommes qu’il qualifiait de "cruels officiels". Il désignait par là ceux qui avaient choisi une vraisemblance glaciale, au-delà des nerfs et du coeur, et qui, par conséquent, demeuraient consciemment aveugles devant la nature dans sa totalité, s’appuyant sur un choix de formule qui rendaient les hommes aveugles et sourdes aux souffrances de millions d’autres.

 

L’homme de la vraisemblance officielle dissimule la souffrance du monde comme dans un bloc de glace, en lui donnant des noms aussi neutres et insignifiants que possible et en employant des mots de papier à caractère officiel qui ne saignent ni ne tremblent.

C’est la forme fallacieuse et diabolique de la circonspection, la forme glacée et insensible de la maîtrise de soi.

 

Et Sandemar donnait quelques exemples pour expliquer ce qu’il entendait en parlant de glace et de mots de papier.

Le mot représailles n’est pas plus affreux à entendre que celui de réparation. Odieux est très proche d’adieu, conflit de confit. Délinquant est le nom qu’on donne à celui qui est pendu, guillotiné ou condamné au supplice de la "pousse de bambou", de "l’encens" ou des "mille coupure" qui entament d’abord la musculature incroyablement (invraisemblablement !) sensible des épaules : le deltoïde.

Ce sont des cruautés incroyables et par conséquent invraisemblables qui provoquent chez la victime ou le délinquant une douleur incroyable ou invraisemblable. Mais le mot délinquant ne diffère pas beaucoup de délicat.

L’imagination des personnes auxquelles on s’adresse avec de tels mots n’est pas mise en branle. Elle ne s’éveille même pas. Elle reste sensée, insensible, proprette et froide.

 

La majorité des gens savent conserver et protéger la vraisemblance pour laquelle ils ont opté. Rien ne peut nous troubler. Nous refusons de croire cela !

 

C’est pourquoi l’histoire de Cassandre est la plus cruelle et la plus véridique de toutes. Car elle met en jeu ce qui est le plus normalement vraisemblable : on ne veut pas croire Cassandre.

 

Il en va de même quand il s’agit de nous, les vagabonds, disait Sandemar. Qu’y a-t-il de vraisemblable dans la vie du vagabond poussé par son instinct d’errance, de jour en jour et d’année en année, ou dans les ménages malheureux jusqu’à l’irréalité quotidienne, ou dans la participation exaltée des solitaires aux souffrances lointaines, ou dans la vie à bord de navires étonnants, ou dans les abattoirs d’une irréalité féroce dans lesquels les couteaux routiniers fonctionnent du matin au soir, ou derrière les guichets d’information de l’immense salle de rédaction d’un journal où seul l’habitué peut trouver réelle la réalité - celle-ci étant invraisemblable pour tous les autres - ou dans le travail du médecin, du garde-malade ou de l’infirmière d’un service d’agités, ou dans le monde irréels des laboratoires spécialisés où les appareils compliqués n’ont un nom et une fonction sur lesquels la pensée puisse se fixer que pour quelques rares initiés ?

 

Bref : le monde est un archipel infini d’invraisemblances. Et il faut une lutte et un malaxage inouïs des mots pour que l’homme indifférent à tout, ancré dans son arrogance par sa fallacieuse véracité froide et insensible, puisse prendre confiance. C’est pourquoi il faut toujours se garder des mots glacés, couchés sur le papier, récités par ceux qui se sont emparés des trônes de vraisemblances officielles. Se garder de ceux qui falsifient l’objectivité omniprésente de la nature.

 

Sandemar aimait l’invraisemblable, c’est-à-dire la réalité telle qu’elle se présente le plus souvent, hors du monde où s’agitent les professionnels de la vraisemblance. Il préférait la division dans le vrai à l’union mensongère autour des symboles chargés de tout exprimer - l’amour, la souffrance, qui n’expriment en réalité que le mensonge sur soi-même, la fausse vérité.

 

C’est pour cela que Sandemar faisait le tour du monde à pied."

 

Pages 83-85, in La Société des vagabonds, chez Agones, 2004. La première édition suédoise est de 1948. source http://www.naturalwriters.org/

 

 

 

Dans 1984, Owell décrit avec une minutie terrorisante le mécanisme qui aboutit à la soumission.

 

La hierarchisation

 

« Dans un monde dans lequel le nombre d'heures de travail serait court, où chacun aurait suffisamment de nourriture, vivrait dans une maison munie d'une salle de bains et d'un réfrigérateur, posséderait une automobile ou même un aéroplane, la plus évidente, et peut-être la plus importante forme d'inégalité aurait déjà disparu. Devenue générale, la richesse ne confèrerait plus aucune distinction. Il était possible, sans aucun doute, d'imaginer une société dans laquelle la richesse dans le sens de possessions personnelles et de luxe serait également distribuée, tandis que le savoir resterait entre les mains d'une petite caste privilégiée. Mais, dans la pratique, une telle société ne pourrait demeurer longtemps stable. Si tous, en effet, jouissaient de la même façon de loisirs et de sécurité, la grande masse d'êtres humains qui est normalement abrutie par la pauvreté pourrait s'instruire et apprendre à réfléchir par elle-même, elle s'apercevrait alors tôt ou tard que la minorité privilégiée n'a aucune raison d'être, et la balaierait. En résumé, une société hiérarchisée n'était possible que sur la base de la pauvreté et de l'ignorance. » (p.270)

 

Le pouvoir

 

« Il est temps que vous ayez une idée de ce que signifie ce mot pouvoir. Vous devez premièrement réaliser que le pouvoir est collectif. L'individu n'a de pouvoir qu'autant qu'il cesse d'être individu. […] Le second point que vous devez comprendre est que le pouvoir est le pouvoir sur d'autres êtres humains. Sur les corps mais surtout sur les esprits. Le pouvoir sur la matière, sur la réalité extérieure, comme vous l'appelez, n'est pas important. Notre maîtrise de la matière est déjà absolue. » (p.372-373)

 

Le langage

 

« Vous croyez, n’est-ce pas, que notre travail principal est d’inventer des mots nouveaux ? Pas du tout ! Nous détruisons chaque jour des mots, des vingtaines de mots, des centaines de mots. Nous taillons le langage jusqu’à l’os. La onzième édition ne renfermera pas un seul mot qui puisse vieillir avant l’année 2050. (...) C’est une belle chose, la destruction des mots. Naturellement, c’est dans les verbes et les adjectifs qu’il y a le plus de déchets, mais il y a des centaines de noms dont on peut aussi se débarrasser. Pas seulement les synonymes, il y a aussi les antonymes. Après tout, quelle raison d’exister y a-t-il pour un mot qui n’est que le contraire d’un autre ? Les mots portent en eux-mêmes leur contraire. Prenez « bon », par exemple. Si vous avez un mot comme « bon » quelle nécessité y a-t-il à avoir un mot comme « mauvais » ? « Inbon » fera tout aussi bien, mieux même, parce qu’il est l’opposé exact de bon, ce que n’est pas l’autre mot. Et si l’on désire un mot plus fort que « bon », quel sens y a-t-il à avoir toute une chaîne de mots vagues et inutiles comme « excellent », « splendide » et tout le reste ? « Plusbon » englobe le sens de tous ces mots, et, si l’on veut un mot encore plus fort, il y a « doubleplusbon »  Naturellement, nous employons déjà ces formes, mais dans la version définitive du novlangue, il n’y aura plus rien d’autre. En résumé, la notion complète du bon et du mauvais sera couverte par six mots seulement, en réalité un seul mot. Voyez-vous, Winston, l’originalité de cela ? Naturellement, ajouta-t-il après coup, l’idée vient de Big Brother." (p. 80)

 

 L'ignorance

 

« Il existait toute une suite de départements spéciaux qui s'occupaient, pour les prolétaires, de littérature, de musique, de théâtre et, en général, de délassement. Là, on produisait des journaux stupides qui ne traitaient presque entièrement que de sport, de crime et d'astrologie, de petits romans à cinq francs, des films juteux de sexualité, des chansons sentimentales composées par des moyens entièrement mécaniques sur un genre de kaléidoscope spécial appelé versificateur » (p.67)

 

Et la soumission

 

« Aujourd'hui, il y avait de la peur, de la haine, de la souffrance, mais il n'y avait plus aucune dignité dans l'émotion. Il n'y avait aucune profondeur, aucune complexité dans les tristesses. » (p.49)

 

« L'idée lui vint que la vraie caractéristique de la vie moderne était, non pas sa cruauté, son insécurité, mais simplement son aspect nu, terne, soumis. » (p.109)

 

 

Sources : http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=158

                http://sur-la-rive.over-blog.com/article-5629619.html

 

Chomsky a écrit que « La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures. » De quoi regarder notre socièté avec un oeil plus que jamais critique.

Et clamer haut et fort qu'un "ailleurs" est non seulement possible mais nécéssaire !

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Publié le 18 Mars 2012

 
 
Juste quelques questions
 
 
Un jour j'ai demandé:
"Grand-père, où est Dieu?
Il me regarda d'un oeil triste
Et ne me répondit rien.
 
Mon grand-père mourut dans les montagnes,
Sans prières, ni confession,
Et c'est les indiens qui l'enterrèrent,
Flûte indienne et tambour.
 
Un autre jour, j'ai demandé:
"Père, qu'est-ce vous savez de Dieu?
Il me regarda d'un oeil triste,
Et ne me répondit rien.
 
Mon père mourut dans les mines,
Sans prières ni confession.
Couleur de sang de mineur,
Voilà la couleur de l'or du patron!
 
Mon frère vit dans les montagnes,
Et ne connaît pas la fleur.
Sueur, serpent et malaria,
C'est la vie du bûcheron.
 
Et que personne ne le demande,
S'il sait où est Dieu:
Par sa maison n'est pas passé
De monsieur aussi distingué...!
 
Je chante par les chemins,
Et quand je suis en prison,
J'entends la voix du peuple,
Qui chante mieux que moi.
 
Il y a une chose dans la vie,
Plus importante que Dieu:
C'est que personne ne crache du sang
Pour qu'un autre vive mieux.
 
Que Dieu aide les pauvres?...
Peut-être que si..., ou peut-être que non...,
Mais il est certain qu'il déjeune
À la table du patron!
 
 
Atahualpa Yupanqui
 
 
 
 
 

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Rédigé par hobo-lullaby

Publié dans #Liberté

Publié le 5 Mars 2012

  
 
   Puisque on a fêté Brassens pour le trentième anniversaire de sa mort en 2011,
Qu'on l'a exposé à la cité de la musique et qu'on l'a célèbré jusque devant les
commissariats et mantenant devant les tribunaux
 
   Je vous propose un petit tour du monde en musique.
Une petite sélection de quatorze morceaux aussi étonnants et attachants les uns que les autres.
 
 
On commence avec une traduction et interprètation en russe du "vieux Léon" par
Alexandre Avanessov. Le charme de la langue et la nostalgie de la musique collent parfaitement au morceau...
 
 
 
 
 
"Mourir pour des idées", toujours en russe et toujours par Alexandre Avanessov, avec une animation de grande qualité ...
 



 
 
 
Direction les Etats unis avec un groupe réputé de Country fondé en 1970 à Austin, dans une version anglaise des "copains d'abord"...

 




L'interprête est Suèdoise, la version anglaise et le concert a lieu sur les pentes de la Croix Rousse à Lyon. La chanson : "Pauvre Martin" ...



 
 
 
Plus surprenant, cette version japonaise de "Les Amoureux des Bancs publics" avec une petite touche tango par Koshiji Fubuki ...

 







Une version en Français de "Pauvre Martin" par une artiste vagabonde s'il en est. Née à Buenos aires elle vit désormais à Madrid après avoir résidé aux Pays bas, en Espagne, au Portugal, en Grèce et à Paris !  Maria Lavalle ...


                         




 
 
 
"Les trompettes de la renommée" Par le Pete Seeger Algérien, le célèbre chanteur humaniste Kabyle Idir ...

 




 
La canne à swing, groupe jazz manouche de Tours ...






 
 
 
 
Une vision Africaine de Brassens avec deux clips dont une interview intérressante du chanteur Franco-Camerounais Kristo Numpuby ...

 
 
 







God save the Gorille grâce aux Brassens not dead, groupe punk Toulousain.
Une version à décoiffer la moustache du grand Georges ...





 
 
 
La Banda de musica municipal de Santiago de Cuba transporte "Les passantes" dans un décor mexicain de western...

 








Une  autre version, Italienne cette fois, des "passantes" par celui qui chantait l'amour, le pacifisme et la défense des opprimés, des valeurs chères à Brassens : Fabrizio De Andre ...








 
Encore un peu d'exotisme avec cette version Créole des "copains d'abord" : L'anmitié solid
Par Sam Alpha, une voix proche de celle de Brassens ...

 











Quelle est belle cette version de la mauvaise réputation par Paco Ibanez, lui qui a chanté "La poèsie est une arme chargée de futur" avant de pouvoir retrouver l'Espagne. N'est ce pas Mr Franco ?





 
 
 
Et pour finir, "La mauvaise herbe"  qui le symbolise tant, par Brassens ...

 

 

 
 

 

 
 
 
 
 
 

 

 
 
 

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Rédigé par hobo-lullaby

Publié dans #musique