Publié le 29 Juillet 2016
John Dee Holeman
ouvrier du bâtiment devenu chanteur guitariste et Blueseman
Donnez moi la vie que j'aime le long de ma route un ruisseau donnez moi le ciel joyeux et le chemin de traverse ...
Publié le 29 Juillet 2016
John Dee Holeman
ouvrier du bâtiment devenu chanteur guitariste et Blueseman
Publié le 12 Mai 2016
Bande de veinards, je vous ai dégoté une pommade contre le mal de dos ...
Publié le 29 Avril 2016
Pour ceux qui ne savent pas oû sont Les trois cochons, c'est sur le plateau de la Croix rousse, pas très loin du gros caillou
Pour ceux qui ne connaisent pas Jack Mono Blues, visitez sa chaine :
https://www.youtube.com/channel/UCSTUi1PKtUqn6uUuH2NRa6Q
Publié le 22 Avril 2016
Moins poétique que la fête des mères ...
Publié le 19 Février 2016
Qui a dit que le Blues n'était pas engagé ?
Et en plus du Blues Français môssieur !
voici donc quatre morceaux de Big Joe Hunter ...
Monsieur Mumia
La nuit dernière, les rues, les coups de feu et les coups de pied et les cris
La nuit dernière, les griffes de la mort ont pris au piège mes rêves
Quatre murs m’ont mis en boite, offert un café plein à ras bord
Quatre murs sales, c'est ma nouvelle auberge
Piégé, accusé et jugé pour meurtre au premier degré
Quelqu'un est à blâmer ! Le micro sonne bien - mais hé, ce n'était pas moi...
Mumia !
Bienvenu Mumia!
Ils m'enferment et essayent de me faire disparaître
Ils me disent non ! Je n'irai pas n'importe où
Entre ces murs, je vivrai ce que "la vie" donne vraiment
Et dans ma cellule je prends des raccourcis à travers les champs les plus lointains
Ma tête est ma maison, ma chair une traînée de boyaux et de bile
J'entends mes corésidents appelant dans le couloir
Mumia !
C’est toi, Mumia?
Derrière ma porte les condamnés survivent dans le long couloir de la mort
Face à la fausse vertu, juste la mort que je pourrais connaitre
A travers la fenêtre, bruissement, voix, entends ce son
Les ailes de l’aigle me disent « soit libre ! envoles toi ! »
Le clair de lune fait luire le chemin des sanglants rivages de la liberté
Les lueurs du printemps me frappent, plus rien n’est mortel
Mumia!
Monsieur Mumia!
Depuis mes murs ont dégouliné dans l’oubli
Le monde est immense, va juste explorer, flingue-le !
De partout viennent les gens se recueillir dans ma cellule
Aime ton voisin comme toi-même, autant que possible
Plus de billots ni de ravages, plus de professionnel du mensonge
Je ne peux pas jeter l’éponge, alors je continue ma route
Mumia!
Monsieur Mumia!
paroles : Julien Farrugia-Karen Wierzba / Musique Michel Korzec
traduction Hobo-Lullaby
Publié le 22 Janvier 2016
Sam Myers (1936 - 2006)
Publié le 14 Janvier 2016
George "Mojo" Buford (1929-2011) fut l'harmoniciste du Muddy Water blues band
Publié le 1 Janvier 2016
Je suis Gaza
Publié le 25 Décembre 2015
Publié le 18 Décembre 2015
Le réveil du Blues ...
Que le Blues soit avec toi